Selfbondage girl plaisirs et frissons

Catégories : Selfbondage auto bondage
il y a 12 ans
Cette histoire érotique n'est pas tout à fait inventée, elle est basée sur des faits réels puisque j'avais décidé de faire réaliser ce selfbondage à ma soumise que j'ai filmé avec grand plaisir.

Kioki a décidé de s'accorder quelques plaisirs et frissons BDSM. Pour le côté plaisir, elle a aligné ses jouets préférés, pour les frisons les clés des menottes et des cadenas sont enfermées dans une des trois boulettes de papier qu'elle jette au hasard dans le salon.

Les boules et le plug anal vibrant en bonne place, elle entrave ses jambes avec des san gles puis ses chevilles avec des chaînes. Chaque fois qu'elle ferme un des cadenas, des frissons de plaisir lui parcourent le corps. Cumulé aux vibrations de ses jouets, la fermeture de ces cadenas la met dans un état second.

Kioki aime les jeux de contraintes et les petits « sévices » érotiques. Pour satisfaire son côté maso, elle a attachés des pinces à linge entre elle avant de lier la ficelle à la poignet de la fenêtre. Une fois menottée, pour accéder aux clés des menottes cachées dans une des boules de papier, elle sera obligée d'arracher une à une les pinces qu'elle pose sur ses tétons et sa poitrine. Elles ne sont pas toutes bien attachées mais elle ne le découvrira plus tard à ses dépens.

Même si elle se traite de folle, lorsqu'elle ferme sur ses poignets les menottes maintenues dans son dos par la chaînette, chaque clic est troublant, grisant, magique.

Le grand moment c'est maintenant, ces pinces il faut les arracher pour se libérer. Elle tire doucement, ses tétons se tendent, s'étirent, la douleur du pincement s'accentue mais rien ne se passe. Les pinces restes irrémédiablement accrochées. Cette douleur érotique cumulée aux vibrations de ses jouets vibrants et des entraves lui font tourner la tête, c'est grisant même si cela fait un peu mal.

Avant que la douleur ne s'accentue trop, elle prend son courage à deux mains et tire d'un seul coup. Malheureusement, il en reste et celles des tétons semblent décidées à lui en faire voir. Kioki est une fille courageuse, elle serre les dents et se met à tourner sur elle-même d'un seul coup pour les arracher. L'afflue san guin revenant rapidement dans ses tétons est assez douloureux mais cette douleur fugace ne dure point. La ficelle a glissé, trois pinces sont restées accrochées, elle va devoir les garder jusqu'au bout.

Pour se libérer, il lui faut maintenant aller trouver la boulette de papier qui contient les clés des menottes mais les pieds et jambes entravés, il n'y a pas d'autre choix que de s'étendre sur le sol et de ramper comme un ver. En s'allongeant, malgré ses précautions elle glisse et chute sur le carrelage froid. Brrrrr Sa mini chute s'est répercutée sur les pinces ce qui est assez douloureux mais n'est-ce pas aussi le piment qu'elle cherchait ?

Kioki sa lance dans l'aventure en rampant à la vitesse d'un vermisseau vers la première boule de papier. Après x contorsions elle se rend compte qu'elle est vide et que la jouissance qu'elle désire maintenant de plus en plus va devoir attendre. Pour se rendre à la deuxième boule de papier, chaque mouvement de reptation se répercute sur son plug ananl et ses boules vibrantes, l'excitation monte de plus en plus et la rend folle de désir.

Dans ses fantasmes, un homme beau comme un dieu vient profiter d'elle. Les yeux fermés elle ressent presque les mouvements de son Priape. Il use et abuse d'elle avant de partir comme un sauvage en la laissant dans ses liens. Ce n'est qu'un fantasme, une histoire qu'elle s'invente car nul n'aimerait être surpris dans ses jeux intimes et être maltraiter, mais c'est si bon d'imaginer un étalon vous forçant à vous faire mourir de plaisir.....

La deuxième boule de papier glisse sur le carrelage et s'approche dangereusement du canapé, la prudence est de rigueur car si elle passe dessous, elle est mal. Lorsqu'elle parvient à l'attraper, dans son masochisme elle espère presque que les clés soient dans la troisième boule, ce qui lui permettrait de vibrer plus longtemps. Un bout de plastique noir apparaît dans le papier, la jouissance attendue se rapproche à grands pas.

A peine libérée, la première chose qu'elle fait c'est d'enlever les pinces à linge encore accrochées sur sa poitrine, ARFFF, cela fait longtemps qu'elles sont là et c'est avec d'infimes précautions qu'elle les retire avant de s'abandonner à même le sol aux plaisirs de l'onanisme sauvage, primaire quasi brutal. En quelques minutes, c'est un tsunami de jouissance qui l'a submerge rasant tout sur son passage.

NOTE DE L'AUTEUR

Cette histoire érotique n'est pas tout à fait inventée, elle est basée sur des faits réels puisque j'avais décidé de faire réaliser ce selfbondage à ma soumise que j'ai filmé avec grand plaisir.

TSM

La vidéo est ici

Là au moins, grâce à la vidéo, on voit très clairement que c'est du vécu. J'adore ! Merci du partage
Effectivement grâce à la vidéo on voit que ce n'est pas tout inventé. En plus cela donne des idées ! Merci beaucoup
Avec TSM, on sait que tout n'est pas inventé dans ses histoires. La nous en avons la preuve. J'aime bien : s'abandonner à même le sol aux plaisirs de l'onanisme sauvage, primaire quasi brutal.
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